Inégalités sociales…
En France, comme partout ailleurs, subsistent des différences du niveau social de la population et ce, malgré les divers dispositifs mis en place par le gouvernement. Le but ici n’est pas d’incriminer tel ou tel parti mais d’en mesurer les conséquences afin de trouver des solutions vis-à-vis de notre thématique, à savoir la musique.
L’un des principaux secteurs touchés face à ce phénomène est l’éducation. En effet, malgré la gratuité de l’enseignement public, il n’en demeure pas moins que des frais annexes viennent s’y greffer et rendent donc difficile son accès à certaines familles. Il en va de même pour la santé où certains soins nécessitent un revenu de conséquence, notamment dans le cadre de maladies rares. Les divertissements, les vacances, certaines activités sportives et culturelles sont également impactées. Pour ces foyers, qui parfois peinent à s’alimenter, il devient quasi impossible de se permettre ces loisirs et hobbies qui s’apparenteraient presqu’à un luxe.
C’est un bien triste évènement, notamment pour les enfants de ces familles, qui se retrouvent privés d'éléments nécessaires à leur bien-être, leur développement ainsi que leur épanouissement.
La bonne nouvelle est qu’aujourd’hui, de nombreuses associations ou plateformes en ligne répondent à certaines de ces problématiques en proposant un service qualitatif à moindre coût. Lorsqu’ils sont accompagnés avec de bonnes méthodes, les enfants obtiennent des résultats plus que satisfaisants.
Chemins classiques...
L’apprentissage de la musique s’est beaucoup démocratisé au cours de ces dernières années. Néanmoins la solution traditionnelle et qui résonne comme une évidence est l’inscription au conservatoire. Aujourd’hui les conservatoires proposent des tarifs très accessibles, notamment en raison des subventions publiques.
Le problème est que les pratiques d’activités musicales telles qu’enseignées dans les conservatoires ne correspondent pas forcément aux attentes des enfants, où bien souvent sont exclues les musiques actuelles et populaires au profit d’un enseignement plus scolaire et traditionnel.
